1974 (p 04)

Publié le par LOS GRINGOS

Le gag : nous arrivons au village, on cherche la rue Rosario, on arrive au n° on sonne, personne, ma mère commence à crier Pepe, Maria, toujours rien, une dame sort de la maison voisine et nous dit je crois que vous vous trompez, il n y a pas deMaria ni Pepe ici vous vous êtes trompé de ville, Ah bon !!  , Merci madame  

 Effectivementle village qu’on cherchait était quelques 3km plus loin, maman reconnait  la maison dès qu’on passe devant, on appelle et tonton sort, ouf c’est bien là. Avant de partir pour Milan une petite photo avec la famille italienne del pelado (tendre sobriquet que je donnais à mon oncle).

A Milan nous cherchons la route de l’aéroport, perdus au centre-ville nous avons la surprise d’écouter une furieuse cacophonie derrière nous, pour regarder La Scala nous bloquions la voie le tramway n’arrivait pas à passer, nous bloquions  la voie. Vite sortons de la.

 En fin on trouve la route, après déposer maman à l’embarquement nous reprenons la route. A cette époque les italiens ne pouvaient pas rouler les weekends pour faire économie de carburant. L’autoroute pour rentrer était vide, terriblement vide, le pied au plancher Jean se  dit pas de danger

 

 

et à    Carabinier : vous roulez à plus de 100km/h, la vitesse en Italie est de 45km/h  la frontière de Ventimiglia : Arrêt forcé,

Jean :  Même sur l’autoroute ???

Carabinier :   Et oui papiers svp, vous venez d’où.         

 Jean :  cette fois on est marrons et à haute voix il lui explique   

On nous donne une contravention que nous devrons payer plus tard en France.

 oufff   (on ne l’a jamais reçu). Du coup on a roulée plus  cool. 

Madrid                                                                                                                                   en décembre saut à Madrid  mes parents arrivaient  d’argentine, nous décidâmes d’aller les chercher, partir en voyage avec un bébé c’est  épique des kilos à emporter. En arrivant à Madrid on voit un nuage énorme en contrebas, on riait en se disant qu’on s’était trompé et on arrivait à la mer, en fait s’était le brouillard qui empêchait les avions d’atterrir. On se renseigne et l’avion avait été dérouté vers Barcelone. On demande a la compagnie si peuvent envoyer un message pour que mes parents restent sur place nous allions ver l’aéroport les récupérer.   vers minuit on arrive (pas d’autoroute à l’époque) L’aéroport était fermée, on trouve un monsieur qui nous dit ou étaient les passagers du vol, on repart à la recherche de l’hôtel                               

  Devant les grandes  portes  de Hôtel *****    un monsieur en smoking et chapeau de forme porte, la classe, à la réception on fait appeler mes parents, entre temps on nous dit ce n’est pas possible il n’y a plus de chambres. Papa arrive et leur dit vous n’allez pas les laisser partir avec le bébé, ils arrivent de Barajas, bon.. Il y a bien une chambre vide mais il manque la lumière du placard, on lui dit nous n’avons pas l’habitude de dormir a l’intérieur, alors pas de souci. Nuit mouvementée quand même le long voyage avait fatigué David il pleurait sans cesse. Le lendemain après un gargantuesque petit déjeuner nous reprîmes la route vers la maison.  A fin janvier 75 nous allions refaire le trajet en sens inverse, mais

 

 

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